Notes
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Chercher la lumière, rare, incertaine.
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Plonger dans la terre, les feuilles, les traces.
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Le paysage n’a pas d’horizon.
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La beauté de l'organique, avec parfois force et douceur, comme une rotonditité.
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L’humain est absent, mais sa trace demeure.
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Dehors devient traversée, lente, entre lumière et nuit, présence et effacement.
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Tout devient signe, réverbération, prolongement du soi.
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Dehors marque (manque ?) l’ouverture.
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Un passage du privé vers le monde.
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Obsession du cadre, du seuil.
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Explorer l’espace extérieur – concret ou symbolique. Se rechercher par des empreintes, des restes, et des signes.
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Mais pas d’opposition par rapport à l'intérieur. L’un n’existe que par l’autre.
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Dehors conserve le trouble et la fragilité.
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Le dehors résonne avec l’intérieur : mêmes tensions, mêmes zones d’ombre.
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La nature de l'esprit. Quel que soit le sujet, cette quête de la parfaite identité de l'esprit avec soi même.